Le Bazarazyn
Un petit titre

contenu de la boîte.image, lien, ...
Le Bazarazyn
Un petit titre

contenu de la boîte.image, lien, ...


What about Mélusine?
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Jasper Hale

Aller en bas 
AuteurMessage
Mélusine
Admin
Mélusine


Messages : 463
Date d'inscription : 07/07/2008

Jasper Hale Empty
MessageSujet: Jasper Hale   Jasper Hale EmptyLun 25 Mai - 19:20

Nom: Hale
Nom humain: Withlock
Prénom: Jasper
Âge Physiquement: 20 ans
Âge Réel: 164 ans
Date de Naissance: 1844
Date de transformation: 1863
Lieu de Naissance: Houston au Texas (U.S.A.)


Physique:

Quoi de mieux que regarder dans un miroir pour avoir un aperçu? Parce qu'un miroir envoie notre image, à nous autres vampires, aussi bien que la votre, à vous humains.
On se croit objectif, on fait de notre mieux.
Je ne suis pas beau... pour un vampire.
Reflet de mon passé guerrier, des milleirs d'ombre de quarties de lune tatouent la peau. Ces cicatrices sont les écjos de chacune de mes victoires. A quel prix?
Invisible au commun des mortels, elles deviennent aussi significatives que la grêle sur la peau d'un vérolé. Pour ceux qui savent voir. Pour les miens. Pour Alice. Chaque heure. Chaque minute de ce jour infini, elle doit composer avec la vision de ces sombres rappels. Je ne trouve aucune gloire à ces cicatrices. Elles ne ont que la preuve que j'ai survécu. Comment survivre quand on ne vit pas vraiment? Elle qui accorde tant d'importance aux apparences, comment fait-elle pour ne plus voir cela? Je l'ignore.
Ceux qui les voient ont un mouvement de recul instinctif. Elles font de moi quelqu'un de dangereux, avant même qu'on ne me connaisse.
J'espère que mon regard parvient à faire balancer cette impression. Mes yeux sont comme ceux des miens. D'une belle nuance allant de l'ambre au topaze quand je suis apaisé. D'un noir de plomb lorsque la "faim" se fait sentir. Lorsque je perd le contrôle. Mes cheveux s'harmonisent à mon regard des jours "sains". Le miel se mêle à l'ambre dans un jeu de mèches mi-longues qui n'ont pas vraiment changées depuis un siècle.
On compare souvent notre peau à un diamant brillant de tous ses feux au soleil. Je préfère la comparer à la surface de l'eau: éclairée doucement par la lune, elle ne devient aveuglante que sous les rayons du soleil. La nuit dévoile ce que le jour aveugle. Et l'éclat du soleil rebondit sur ma peau pour y creuser vallées et montagnes.

Au quotidien, j'arbore la plupart du temps des vêtements clairs. Alice, notre styliste, nous contraint à renouveler fréquemment notre garde-robe, ce qui fait que jamais vous ne me verrez avec deux fois la même tenue. J'affectionne particulièrement les marques italiennes et ai une préférence pour les lignes simplicité. Pour les soirées, j'opte généralement pour la sobriété du noir et blanc. Alice apprécie particulièrement ce genre de tenues.




Caractère/personnalité:

Je sais que je peux parfois paraître froid et distant. Détaché. Comme si le sort des autres ne me concernait pas. Comme si j'étais un monstre d'égoïsme.
J'ai fait un choix, il y a très longtemps, quand Alice est rentrée dans ma vie, puis quand nous avons rejoint le clan Cullen. Si je dois me soucier de quelqu'un, ce sera de ceux que j'aime. Leur climat émotionnel est le seul que je tente de maintenir au beau fixe.
Je ne peux pas être le Monsieur Météo de l'humanité entière. Je ne suis même pas sûr d'avoir un jour essayé. Carlisle est sans nul doute plus altruiste que moi. Il cherche à sauver des vies. Toutes les vies qui passent à porter de main. Mais, si ce grand homme a raison dans ses théories et que notre nouvelle vie n'a pas commencé avec la perte de notre âme, c'est cela, moi, que je tente de sauver. Nos âmes. C'est un combat plus long que celui contre la maladie. Une blessure au coeur peut ne jamais guérir.

Au quotidien, on me considère comme quelqu'un de calme, pondéré et réfléchi. Il est vrai que je m'énerve rarement. Les autres s'étonnent. Mais aussi, ils ne perçoivent pas comme moi les ondes de choc qui partent de l'épicentre de la colère. ils n'ont pas à ressentir chez les autres la conséquence de la moindre de leur action, de la moindre de leur parole. Je ne lis pas les esprits comme Edward mais je pense qu'il est sans doute le mieux à même de comprendre mes réactions. Son quotidien, comme le mien, est pollué par l'"être" des autres. Leurs pensées pour lui. leurs émotions pour moi. Et mettre une barrière entre soi et ses manifestations est éminemment difficile. Car j'ai alors l'impression d'être coupé de tout. sans compter qu'un tel effort demande une forte concentration, à un point trop difficile à conserver longtemps. Je garde donc mes distances, quitte à paraître égocentrique. Je sais également que j'ai tendance à être trop protecteur. Alice en fait souvent les frais. L'idée de la conserver dans un cocon de sérénité où rien ne pourrait lui arriver est, je l'avoue, tentante. Je suis partial, aussi. Et si, un jour, je devais choisir entre la femme que j'aime et le reste du monde, je n'hésiterais qu'une demi-seconde, demi-seconde que je passerais à songer à la douleur que je causerais à ceux qui sont ma famille. Mais cela ne me ferait pas changer d'avis. J'imagine que cela fait aussi de moi un être têtu. On ne se refait pas. On aimerait être parfait. C'est un bel espoir d'enfant.

A parler ainsi, je peux donner l'impression de me dénigrer. ne vous en faites pas. J'ai sans doute aussi des qualités. Je suis patient. A l'extrême. L'éternité change étrangement vos perspectives. Seul le danger imminent peut me faire sortir de ma réserve. J'ai été impulsif et violent, par nécessité (ou peut-être par nature). J'en garde des restes. Je ne considère par cela nécessairement comme un défaut.
Je sais écouter, ou, peut-être devrais-je corriger, je sais sentir. On dit également de moi que j'ai du charisme. On le disait déjà du temps de mon vivant. Il y aurait quelque chose en moi qui convaincrait les autres, qui leur donnerait envie de me suivre. C'est ce qui m'a fait monter en grade rapidement, du temps où j'étais soldat. C'est ce qui m'a donné un rôle prépondérant en temps que leader de jeunes vampires. Les gens qui s'opposent à moi sont rares.

J'aime à me voir comme une personne d'aimable compagnie même si les êtres qui sont à même d'en profiter sont rares. J'espère également être quelqu'un d'attentionné. Ma famille saura mieux que moi répondre à cette question. J'ai parfois tendance à me laisser "bouffer" par ce que je ressens, mais mes proches savent à quel point je ne suis pas vraiment moi dans ces périodes.

C'est un petit aperçu de qui je suis. Je suppose qu'il faudrait que vous vous approchiez un peu pour mieux me connaître. Je ne suis pas sûr d'en avoir la force. Vous bouillonnez tellement d'émotions, de joie, d'amour, de peur, de haine, de...
Mais une chose est certaine, que ce soit moi ou n'importe quel être pensant, ce serait se voiler la face que de croire que nous ne sommes décrits que par quelques mots. Nous sommes infiniment complexes, plus complexes encore que les sentiments qui nous portent. Les gens qui savent qui je suis vraiment sont rares. Je ne suis pas sûr d'en faire partie.

En résumé: réservé, égoïste, discret, montrant peu ses sentiments, entêté, sensible, protecteur, réfléchi, charismatique, intelligent, possédant le sens de la tactique, patient, exclusif, gracieux, aimant...




Histoire:

Soif.
Ma gorge me brûle.
Brûle si fort qu'au lieu de respirer de l'air, j'ai l'impression d'aspirer des braises.
Soif.
Il y a quelque chose d'anormal.
Soif.
Le soleil brille trop fort au travers de mes paupières. Ma peau est trop sensible. Ma vie ne suit plus son tempo. C'est peut-être ce silence si immense qui est étrange. Il n'y a que le bruit de mon souffle. Le lourd battement de mon coeur ne joue plus sa musique rassurante.
Je m'y étais attaché.
Soif.
Alors, c'est ainsi mourir? Trois jours de purgatoire pour un paradis infernal? Trois jours de douleur pour souffrir encore?
Soif.
Mais la promesse que je fais à mon corps de trouver de l'eau fraîche ne me satisfait pas.
J'ai faim. J'ai soif. Je suis mort. Et pourtant, indéniablement, je vis.
Soif.
Soif. soif. Soif. Soif. SOIF!

J'ouvre enfin les yeux. la lumière éblouissante et pourtant diffuse qui filtrait à travers mes paupières se révèle soudain dans toute sa splendeur.
Le monde est beau. Je ne l'avais jamais remarqué.
Mes yeux se posent sur un ange.
Je ne comprends pas. Je ne comprends plus.
Et cette brûlure dans ma gorge qui embrase tout mon corps. l'ange sourit, comme si elle comprenait ma douleur. Sans un mot, elle m'aide à me relever et m'entraîne à sa suite. Sombrant dans l'incompréhension, j'emboîte son pas. Elle me conduit rapidement vers un endroit qu'il me semble reconnaître, comme une résurgence d'une vie antérieure. Je sais qu'il y a quelque chose d'étrange, de troublant qui m'est arrivé. Mon corps bouge différemment. Mais il est ravagé par ce besoin obsédant que je ne comprends pas. La sensation dans ma gorge m'obnubile, annihile tout autre ressenti.

Et soudain,... une odeur... Meilleure que celle du pain frais après une semaine de combat. Meilleur que celle du soleil venant jouer sur les pins. C'est comme si je n'avais vécu que pour cette odeur. Je ne sais pas ce qui m'arrive. Je cours, je vole, je plane. Comme un oiseau de proie.
Ce que mes yeux analysent comme un être humain, comme un de mes semblables.... ma soif me le fait oublier. Je ne pense qu'à l'étancher, qu'à éteindre cette brûlure en m'abreuvant à cette odeur.
Dans une lente précipitation paradoxale, je sens soudain ce corps chaud contre le mien. Mes lèvres se posent sur sa gorge dans une étreinte mille fois plus intime que tout ce que j'ai connu jusqu'alors. Et l'extase. Et l'horreur.
Je ne comprends pas. Je ne comprends plus. Comment quelque chose d'aussi inhumainement bon peut-il provoquer une telle détresse? Pourquoi mes sens sont-ils au-delà de tout plaisir alors que mon âme hurle de douleur et de peur?
Ma bouche réagit la première. J'ai englouti tout ce nectar en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. l'horreur a disparu.

J'ai encore soif.



C'est plus tard que je me souvins.
Comment trois jeunes femmes m'avaient approcher.
Comment j'étais resté malgré mon instinct qui me criait de fuir.
Comment deux des femmes étaient parties quand la troisième était restée.
Comment sa bouche s'est approchée de ma gorge pour y planter sa douleur.
Comment la douleur s'est répandue en moi comme un venin.
Comment je suis longtemps resté là à hurler, incapable songer à autre chose qu'à la douleur folle qui courrait dans mes veines.
Comment j'ai ouvert les yeux sur le monde pour la première fois.

C'est une femme du nom de Maria qui m'a volé ma vie. Et m'a donné naissance. Je suis né de deux femmes différentes. Deux mères. Une de sang. Et une de venin.

Je n'aime pas revenir sur ces années-là. Des années de douleur, de peur, de haine et de déchirement. D'admiration aussi. Leader d'une armée de nouveaux-nés. Combattant hors-pair. Monstre.
Comme pour me punir, j'étais condamné à ressentir les émotions de chacune de mes victimes. Mais tous me suivaient, incontestablement. Ces tous que je serais obligé de tuer si nos ennemis ne s'en chargeaient pas.
Je me suis laissé gagner par la lassitude et le désespoir. Mais je continuais. J'ai toujours eu un sens inné du devoir et du sacrifice.

Au bout d'une éternité, j'ai rencontré Peter. Un égal. Pas comme Maria pour qui mon admiration était si grande. Un véritable égal. Aussi proche de moi que peut l'être un assassin. Pour protéger son amour, il s'est levé contre moi. Pour protéger son amour, il m'a montré la voie. Je n'en pouvais plus. je n'en pouvais plus de sentir toute cette détresse, la peur et la douleur de tous ces macchabés. Je ne voyais plus aucun intérêt à vivre, ou plutôt à survivre. Alors, je les ai suivi, j'ai quitté Maria.

J'ai essayé quelques temps de vivre avec eux. C'était moins pire. Mais quelque chose clochait toujours. Cette douleur. Cette peur. Toujours.
Je l'avais identifié maintenant. Comme j'avais compris que mon 'don', ma malédiction, était de ressentir les émotions. Toutes les émotions. Sans pouvoir m'en protéger. Je pouvais les influencer, aussi. Les transformer, les sublimer.
Mais j'en souffrais toujours. Chaque fibre des êtres qui me nourrissaient me criait le monstre que j'étais. Et peut-être n'avais-je pas envie de les arrêter. Je les laissais m'atteindre comme autant de pique cruelle.
J'ai essayé. J'ai essayé de tuer moins souvent. Mais c'était encore pire. Ma soif devenait plus grande. Elle me manipulait. Ma violence était terrible. Je m'enfermais sur moi-même, prisonnier de mon âme.

Et mon véritable ange est arrivé, pour me sortir de cette fournaise.
J'étais soudain entier. Ca ne s'explique pas. Les mots sont impropres à traduire ce que son apparition dans ma vie a fait sur moi. C'était comme une étoile au milieu d'une nuit sans lune, apparaissant pour me redonner espoir, pour m'indiquer la route. C'était comme un lever de soleil après de longs mois d'hiver, apportant sa chaleur et son éclat. C'était... c'était Alice.
J'avais encore mal mais ce que ses émotions me transmettaient... c'est intraduisible.
J'étais enfin complet.

Elle m'a pris par la main et a guidé ma route. Jusqu'aux Cullen et leur incroyable façon de vivre. Carlisle, Esmée, Edward, Emmet et Rosalie. Les végétariens. J'avais trouvé mon âme soeur. j'avais trouvé une famille. Et j'avais trouvé, enfin, quelque chose pour me libérer.




***
Avatar: Jackson Rathbone
Code du Réglement:
Votre Âge: 25 ans et des poussières
Votre Niveau d'Rp: quelque part dans la moyenne
Revenir en haut Aller en bas
https://melusine.superforum.fr
 
Jasper Hale
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Bazarazyn :: Les topics-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser