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Mélusine
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Mélusine


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MessageSujet: Présentation   Présentation EmptyJeu 7 Juin - 22:16

Alejandro McDomhnall
« Ma seule liberté est de rêver, alors je rêve de liberté. » • Benoît Granger

    Présentation Alejandro2
    © Alejandro McDomhnall
      NOM : McDomhnall
      PRÉNOM(S) : Alejandro
      SURNOM(S) : essayez... pour voir.
      ÂGE : 25 ans
      DATE DE NAISSANCE : 12.02.1996
      NATIONALITÉ & ASCENDANCE : Sang-mêlé. Un croisement écossais – espagnol. Épique !
      PROFESSION : balayeur des rues.
      ANCIENNE MAISON : Poufsouffle.
      TIC & HABITUDE : mâchonne plume, crayon et baguette au moindre regain de nervosité. Croque lieux et personnages à longueur de journée.
      AVATAR : Ethan Peck


YOU & MAGIC


    BAGUETTE : 32.5 cm • bois d'ébène • ventricule de cœur de dragon. C'est sa dix-septième. Il les perd, les casse, les renie, les vend dans ses crises financières personnelles. Sa plus longue cohabitation avec une baguette est de six mois, trois jours et quelques heures. Quant à sa dernière acquisition, elle date d'une semaine et demi. Pour l'instant, tout n'est pas au mieux dans le meilleur des mondes, entre entêtement et explosions inopportunes.. Peut-être aurait-il dû écouter le vendeur, prendre son temps, au lieu de se débarrasser de l'épreuve comme d'une corvée en choisissant la première baguette qui lui passait sous les doigts. Ouais. Peut-être. Next time.
    PATRONUS : une mouette. Ses premières expériences patronesques dessinaient plutôt la forme d'un cheval. Allez savoir ce qu'il s'est passé depuis.
    EPOUVANTARD : jamais croisé .
    FAMILIER : une chauve-souris appelé Mascarpone.
    NIVEAU MAGIQUE : 3/10

    • Défense contre les forces du Mal : 1/10
    • Sortilèges : 3/10
    • Métamorphose : 1/10
    • Potions : 9/10
    • Botanique : 8/10
    • Histoire de la magie : 0/10
    • Astronomie :10 /10
    • Soins aux créatures magiques : 5/10
    • Arithmancie : 7/10
    • Divination : 1/10
    • Étude des Moldus : 0/10
    • Étude des runes : 0/10
    • Vol : 5/10


    Magiquement parlant, Alejandro n'a pas inventé la poudre de cheminette. Il n'a jamais montré de véritables dispositions pour les sorts et autres maléfices. Ou peut-être n'a-t-il jamais vraiment essayé. Ce n'est pas le genre de nuances qui l'intéresse, de toute façon.

    Par nécessité, il maîtrise tout ce qui touche à l'entretien (gracieuseté de sa mère qui estimait qu'une bonne éducation impliquait quelques sortilèges ménagers et culinaires). Mais la Métamorphose, la Défense contre les Forces du Mal... tout ça était tellement abstrait pendant ses jeunes années... Non, ce qui l'intéressait, c'était pencher la tête et observer les étoiles, tripatouiller les ingrédients, expérimenter, faire exploser quelques chaudrons, etc. Etre un véritable sorcier nécessite à ses yeux de maîtriser l'art subtil des potions, et, indirectement ses ingrédients divers. D'où son intérêt pour la Botanique.

    Au quotidien, Alejandro préfère tout simplement se servir de ses deux mains plutôt que d'agiter sa baguette. Fait peu commun chez les sorciers, il s'est toujours senti passablement stupide à agiter un frêle morceau de bois.





BACKGROUND
« Vivre tue un peu plus chaque jour » • Alejandro McDomhnall

    FAMILLE :
    Maìri McDomhall • mère : 47 ans - météoromage pour le Ministère de la Magie.
    Aime les Beatles, la glace à la citrouille et les moutons.
    Née au fin fond des Highlands, sa mère possède ce caractère un peu âpre de ceux qui ont dû se battre pour survivre. Têtue et fière, gardez-vous pourtant des apparences car dans sa poitrine bat un cœur d'or et sa porte est toujours ouverte aux inconnus - un peu trop, d'ailleurs, si vous voulez l'avis de son fils ainé, qui a vu défiler trop de beaux-pères potentiels à son goût. Les hommes s'y sont pressés, ont vu, ont vécu et en sont repartis. Son propre père, en l’occurrence. D'autres y ont pris leurs quartiers. Actuellement, ils sont deux hommes à vivre avec sa mère. Un ménage à trois dans lequel il est facile de grandir mais qui rend parfois le regard des autres plus difficile à affronter.
    Dans ce petit coin perdu d'Écosse, les langues vont bon train sur les mœurs un peu étranges de cette femme rousse qui parle parfois un peu trop fort.


    Segismundo Lozano • père : 48 ans - baroudeur.
    Aime le grand air, le Whisky pur feu, la poésie et la provocation.
    Sa contrée à lui est l'Espagne. A l'heure de l'Europe, les frontières sont devenues des petits détails faciles à sauter pour rencontrer l'inconnu(e), l'autre. Poète à ses heures perdues et baroudeur à temps plein, il a posé ses bagages en Écosse le temps de tomber amoureux de Maìri, de lui faire un enfant, avant de manquer d'air et d'espace et de reprendre sa liberté. La banalité du quotidien, très peu pour lui.
    Il a ce caractère facile indispensable aux voyageurs qui lui permet de se lier si facilement d'amitié. On lui offre l'hospitalité à tour de bras et lui égraine une descendance aux quatre coins du monde, faisant don de son nom à ses héritiers avant de partir à la conquête d'autres horizons. Une fois l'an, il fait un pèlerinage familial pour voir ses enfants grandir et leur raconter ses récits d'aventure qui font briller leurs yeux et titillent leur imaginaire.


    Angelo Cavazza & Gàbor Kučera • beaux-pères : L'un est italien, l'autre est tchèque et les deux ont élu domicile au domaine McDomhnall et y ont pris leur quartier. Le premier est un expansif, qui parle avec de grands gestes, cuisine comme un chef et fut, jadis, joueur de Quidditch semi-professionel. L'autre est la discrétion même, tout en petites attentions et charme discret, qui observe plus qu'il ne parle et a fait de l'écriture de romans à l'eau de rose sa vie professionnelle. Diamétralement opposés dans leur manière d'être, d'agir et d'aimer, on aurait pu penser que placés en concurrence dans le cœur d'une même femme ils développent une antipathie à la limite de l'inimitié, tolérant à peine la présence de l'autre... La vie et ses lubies en a décidé autrement. Complices, une amitié solide est née de leur cohabitation forcée. Au point que, parfois, on les voit partir en excursion ensemble, laissant Maìri seule quelques jours pour d'un break au masculin.

    Sorcha McDomhnall, Mae McDomhnall & Aranza Lozano • demi-sœurs : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer iaculis metus eget ante sollicitudin quis facilisis ipsum dignissim. Aliquam erat volutpat. Nunc varius gravida rutrum. Nulla nisi mauris, tempus id faucibus ac, dapibus lobortis lacus. Duis posuere imperdiet pretium. Nulla sed libero tortor. Morbi lobortis mi ac quam condimentum pulvinar. Nam mattis egestas libero quis gravida. Ut molestie, ipsum sit amet porttitor varius, eros purus dictum nisi, vel adipiscing dolor nunc vel massa. Vestibulum euismod, ligula et venenatis tempus, orci elit dictum tellus, vel consequat diam nibh vel odio. Nullam dapibus tellus nec magna tristique bibendum.

    Osvaldo Lozano & Jacinto Lozano • demi-frères : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer iaculis metus eget ante sollicitudin quis facilisis ipsum dignissim. Aliquam erat volutpat. Nunc varius gravida rutrum. Nulla nisi mauris, tempus id faucibus ac, dapibus lobortis lacus. Duis posuere imperdiet pretium. Nulla sed libero tortor. Morbi lobortis mi ac quam condimentum pulvinar. Nam mattis egestas libero quis gravida. Ut molestie, ipsum sit amet porttitor varius, eros purus dictum nisi, vel adipiscing dolor nunc vel massa. Vestibulum euismod, ligula et venenatis tempus, orci elit dictum tellus, vel consequat diam nibh vel odio. Nullam dapibus tellus nec magna tristique bibendum.


    HISTOIRE :
    Il était une fois, dans un bled pommé d'Ecosse...
    PETITS SECRETS & OBJECTIFS :


DESCRIPTION
« citation »

    PHYSIQUE :
    CARACTÈRE :
    J'AIME / JE DÉTESTE :



HORS JEU


    PRÉNOM / PSEUDO : M. Mac.
    ÂGE : 27. Ouais. Je sais. Une antiquité vivante.
    MULTICOMPTE / PERSONNAGE PRÉDÉFINI : /
    COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? via TDJ
    EXPERIENCE RP ? j'écris depuis un peu plus de six ans. Ma formation ? Destination-Poudlard & DP Alternatif.
    AVEZ VOUS LU LE RÈGLEMENT ? SI OUI QUELS SONT LES MOTS CODES ? Smile

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MessageSujet: Re: Présentation   Présentation EmptyLun 11 Juin - 22:09

Alejandro McDomhnall
« Ma seule liberté est de rêver, alors je rêve de liberté. » • Benoît Granger

    Présentation Alejandro2
    © Alejandro McDomhnall
      NOM : McDomhnall
      PRÉNOM(S) : Alejandro
      SURNOM(S) : essayez... pour voir.
      ÂGE : 25 ans
      DATE DE NAISSANCE : 12.02.1996
      NATIONALITÉ & ASCENDANCE : Sang-mêlé. Un croisement écossais – espagnol. Épique !
      PROFESSION : balayeur des rues.
      ANCIENNE MAISON : Poufsouffle.
      TIC & HABITUDE : mâchonne plume, crayon et baguette au moindre regain de nervosité. Croque lieux et personnages à longueur de journée.
      AVATAR : Ethan Peck


YOU & MAGIC


    BAGUETTE : 32.5 cm • bois d'ébène • ventricule de cœur de dragon. C'est sa dix-septième. Il les perd, les casse, les renie, les vend dans ses crises financières personnelles. Sa plus longue cohabitation avec une baguette est de six mois, trois jours et quelques heures. Quant à sa dernière acquisition, elle date d'une semaine et demi. Pour l'instant, tout n'est pas au mieux dans le meilleur des mondes, entre entêtement et explosions inopportunes.. Peut-être aurait-il dû écouter le vendeur, prendre son temps, au lieu de se débarrasser de l'épreuve comme d'une corvée en choisissant la première baguette qui lui passait sous les doigts. Ouais. Peut-être. Next time.
    PATRONUS : une mouette. Ses premières expériences patronesques dessinaient plutôt la forme d'un cheval. Allez savoir ce qu'il s'est passé depuis.
    EPOUVANTARD : jamais croisé .
    FAMILIER : une chauve-souris appelé Mascarpone.
    NIVEAU MAGIQUE : 3/10

    • Défense contre les forces du Mal : 1/10
    • Sortilèges : 3/10
    • Métamorphose : 1/10
    • Potions : 9/10
    • Botanique : 8/10
    • Histoire de la magie : 0/10
    • Astronomie :10 /10
    • Soins aux créatures magiques : 5/10
    • Arithmancie : 7/10
    • Divination : 1/10
    • Étude des Moldus : 0/10
    • Étude des runes : 0/10
    • Vol : 5/10


    Magiquement parlant, Alejandro n'a pas inventé la poudre de cheminette. Il n'a jamais montré de véritables dispositions pour les sorts et autres maléfices. Ou peut-être n'a-t-il jamais vraiment essayé. Ce n'est pas le genre de nuances qui l'intéresse, de toute façon.

    Par nécessité, il maîtrise tout ce qui touche à l'entretien (gracieuseté de sa mère qui estimait qu'une bonne éducation impliquait quelques sortilèges ménagers et culinaires). Mais la Métamorphose, la Défense contre les Forces du Mal... tout ça était tellement abstrait pendant ses jeunes années... Non, ce qui l'intéressait, c'était pencher la tête et observer les étoiles, tripatouiller les ingrédients, expérimenter, faire exploser quelques chaudrons, etc. Etre un véritable sorcier nécessite à ses yeux de maîtriser l'art subtil des potions, et, indirectement ses ingrédients divers. D'où son intérêt pour la Botanique.

    Au quotidien, Alejandro préfère tout simplement se servir de ses deux mains plutôt que d'agiter sa baguette. Fait peu commun chez les sorciers, il s'est toujours senti passablement stupide à agiter un frêle morceau de bois.





BACKGROUND
« Vivre tue un peu plus chaque jour » • Alejandro McDomhnall

    FAMILLE :
    Maìri McDomhall • mère : 47 ans - météoromage pour le Ministère de la Magie.
    Aime les Beatles, la glace à la citrouille et les moutons.
    Née au fin fond des Highlands, sa mère possède ce caractère un peu âpre de ceux qui ont dû se battre pour survivre. Têtue et fière, gardez-vous pourtant des apparences car dans sa poitrine bat un cœur d'or et sa porte est toujours ouverte aux inconnus - un peu trop, d'ailleurs, si vous voulez l'avis de son fils ainé, qui a vu défiler trop de beaux-pères potentiels à son goût. Les hommes s'y sont pressés, ont vu, ont vécu et en sont repartis. Son propre père, en l’occurrence. D'autres y ont pris leurs quartiers. Actuellement, ils sont deux hommes à vivre avec sa mère. Un ménage à trois dans lequel il est facile de grandir mais qui rend parfois le regard des autres plus difficile à affronter.
    Dans ce petit coin perdu d'Écosse, les langues vont bon train sur les mœurs un peu étranges de cette femme rousse qui parle parfois un peu trop fort.


    Segismundo Lozano • père : 48 ans - baroudeur.
    Aime le grand air, le Whisky pur feu, la poésie et la provocation.
    Sa contrée à lui est l'Espagne. A l'heure de l'Europe, les frontières sont devenues des petits détails faciles à sauter pour rencontrer l'inconnu(e), l'autre. Poète à ses heures perdues et baroudeur à temps plein, il a posé ses bagages en Écosse le temps de tomber amoureux de Maìri, de lui faire un enfant, avant de manquer d'air et d'espace et de reprendre sa liberté. La banalité du quotidien, très peu pour lui.
    Il a ce caractère facile indispensable aux voyageurs qui lui permet de se lier si facilement d'amitié. On lui offre l'hospitalité à tour de bras et lui égraine une descendance aux quatre coins du monde, faisant don de son nom à ses héritiers avant de partir à la conquête d'autres horizons. Une fois l'an, il fait un pèlerinage familial pour voir ses enfants grandir et leur raconter ses récits d'aventure qui font briller leurs yeux et titillent leur imaginaire.


    Angelo Cavazza & Gàbor Kučera • beaux-pères : respectivement 50 ans - apothicaire & 45 ans - antiquaire
    L'un est italien, l'autre est tchèque et les deux ont élu domicile au domaine McDomhnall et y ont pris leur quartier. Le premier est un expansif, qui parle avec de grands gestes, cuisine comme un chef et fut, jadis, joueur de Quidditch semi-professionel. L'autre est la discrétion même, tout en petites attentions et charme discret, qui observe plus qu'il ne parle et a fait de l'écriture de romans à l'eau de rose sa vie professionnelle. Diamétralement opposés dans leur manière d'être, d'agir et d'aimer, on aurait pu penser que placés en concurrence dans le cœur d'une même femme ils développent une antipathie à la limite de l'inimitié, tolérant à peine la présence de l'autre... La vie et ses lubies en a décidé autrement. Complices, une amitié solide est née de leur cohabitation forcée. Au point que, parfois, on les voit partir en excursion ensemble, laissant Maìri seule quelques jours pour d'un break au masculin.

    Sorcha McDomhnall, Mae McDomhnall & Aranza Lozano • demi-sœurs : 20 ans – styliste en formation ; 18 ans – 7ème année à Serdaigle & 15 ans – 5ème année au sein de l'équivalent espagnol de Gryffondor
    L'ainée est un grand échalas roux au rire contagieux et à la bonne humeur constante, la seconde est une petite brune rondelette un peu discrète aux goûts un peu éclectiques, quand la petite dernière a un minois d'ange sous sa crinière de cheveux clairs, minois qui cache bien son caractère espiègle et autodidacte.
    Si Alejandro part toujours dans de grands élans protecteurs dès qu'il s'agit d'Aranza, qu'il ne voit que trop peu à son goût, c'est avec Sorcha qu'il est le plus en phase. Malgré les quelques années qui les séparent, il y a entre eux cette étincelle qui fait qu'à eux deux, ils se sentent invincibles. Au manoir familial, ils faisaient les quatre cents coups, lui couvrant toujours sa benjamine lorsqu'ils se faisaient gauler. Sorcha a en plus ce petit talent si rare qui suscite chez lui des idées toujours plus folles et inventives. Depuis l'enfance, il la surnomme sa «Petite Muse».


    Note : Alejandro est le demi-frère des deux plus grandes par sa mère (Sorcha étant la fille d'Angelo et Mae de Gàbor) tandis que c'est l'ascendance paternelle qui le lie à Aranza. Tous les enfants de Maìri hérite de son matronyme. Tradition familiale où l'héritage se fait de mère en fille, plutôt que de père en fils. Les McDomhnall se réclament d'une lignée matriarcale. Féministes avant l'heure.

    Osvaldo Lozano & Jacinto Lozano • demi-frères : 20 ans – libraire & 11 ans – 1ère année au sein de l'équivalent espagnol de Poufsouffle
    Osvaldo est un petit crétin. Comme quoi, il y en a même dans les meilleures familles. Impossible de savoir d'où il tient ce fâcheux trait de caractère (peut-être de sa tante Carmen, qu'Alejandro a toujours eu du mal à supporter)... En dehors des balais de courses, des magazines people et des filles vulgaires, les sujets de conversation du jeune homme sont on ne peut plus limitées. C'est à se demander comment il est parvenu à devenir libraire. Son patron a certainement dû oublier de lui faire passer un quelconque entretien. On soupçonne même qu'Osvaldo aurait bénéficié d'un sortilège de confusion jeté au dit patron par une bonne âme affectueuse. Sans commentaire.
    Lozano, lui, est un petit bout de chou, un peu gâté. Mais qui peut résister à son sourire et à sa gentillesse. Le gosse possède un cœur qu'il serait prêt à diviser en morceaux et à distribuer autour de lui si ça pouvait rendre le monde plus heureux. Rêveur et toujours dans la lune, il ne redescend sur Terre qu'à leur du goûter et pour recevoir un peu de tendresse à qui veut bien lui en prodiguer. Ses facultés d'attention dépendent de son humeur et du capital sympathie de son interlocuteur. Peut-être l'adolescence va-t-elle venir chambouler son caractère adorable... pour l'instant ce n'est pas le cas.



    HISTOIRE :
    Il était une fois, dans un bled pommé d'Ecosse...


    PETITS SECRETS & OBJECTIFS :


DESCRIPTION
« Les préjugés viennent de l'oeil et non du coeur. » • Marquis Quirion

    PHYSIQUE : la mèche un peu rebelle, Alejandro n'est pas vraiment ce genre de type à passer du temps devant le miroir de sa salle de de bain. Il affectionne les vêtements simples aux couleurs sobres. Quoi de mieux qu'un bon vieux jean noir et un sweat blanc. Selon son humeur, il agrémente le tout d'un chèche de couleur.
    Métisse espagnol-écossais, il a ce charme un peu particulier de ceux qui n'héritent pas d'une seule culture mais de deux. De là à le trouver beau, il y a un grand pas que, jusqu'à présent, seule sa mère a osé franchir. Du côté maternel, justement, il a hérité la crinière rebelle, en boucles indisciplinées, une peau pâle qui le désole, des yeux verts que, pour le coup, il apprécie. Son père, pour sa part, lui a légué la chevelure noire d'ébène, une voix un peu rocailleuse et une sveltesse qui ne demande aucun effort à entretenir.
    De manière générale, Alejandro n'est pas vraiment du genre sportif mais fait le strict nécessaire pour ne pas être ramolli avant l'heure. D'aucun le dirait athlétique, mais, en y regardant de plus près, on prend rapidement conscience qu'il a juste une bonne constitution.
    Habitué depuis tout petit à dépasser ses camarades d'une tête, il culmine aujourd'hui à un bon mètre quatre-vingt-dix, ce qui a au moins le mérite de lui éviter pas mal d'ennui. Dans une bagarre de bar, on y réfléchit à deux fois avant de le prendre pour cible. Il possède une démarche souple, qui frôle parfois la nonchalance mais quiconque le connaît sait que ses réflexes sont des plus opérationnels et que ses nerfs reprennent le dessus lorsque cela s'avère nécessaire.

    Approchons-nous un peu et attachons-nous aux détails.
    Son visage, Merlin merci, n'est ni trop fin, ni trop barbare. Sa mâchoire, sans être carrée, dessine une belle ligne qui souligne son visage avec conviction. Ses pommettes sont hautes, sans être excessivement marquées. Et si vous lui demander ce qu'il préfère chez lui, en dehors de ses yeux, il répondra à coup sûr qu'il est plutôt satisfait de ses oreilles, qu'il trouve parfaitement ourlées, et de sa fossette au menton.
    Autre trait caractéristique : ses mains. Ses longs doigts fins ont acquis au fil des années une dextérité sans pareille, qu'il entretient scrupuleusement. Il s'agit là de ses outils de travail et il redoute plus que tout une fracture ou une entorse qui lui demanderait des mois de rééducation. Quand tout va bien, ses mains sont souvent tâchées d'encre ou de fusain. Alors, son génie créatif est au beau fixe et ses heures vacantes sont consacrées au dessin.

    Quant au reste, rien de très notable. Quelques grains de beauté égrainés de-ci, de-là. Une pilosité mesurée (vous ne le verrez mal rasé qu'au terme d'une nuit dédiée à l'art... ou à l'amour). Cinq doigts à chaque main. Bref, rien que de très normal.

    CARACTÈRE :

    J'AIME / JE DÉTESTE :



HORS JEU


    PRÉNOM / PSEUDO : Mac
    ÂGE : 27. Ouais. Je sais. Une antiquité vivante.
    MULTICOMPTE / PERSONNAGE PRÉDÉFINI : /
    COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? via TDJ
    EXPERIENCE RP ? j'écris depuis un peu plus de six ans. Ma formation ? Destination-Poudlard & DP Alternatif.
    AVEZ VOUS LU LE RÈGLEMENT ? SI OUI QUELS SONT LES MOTS CODES ? Smile

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MessageSujet: Re: Présentation   Présentation EmptyDim 17 Juin - 22:07

Alejandro McDomhnall
« Ma seule liberté est de rêver, alors je rêve de liberté. » • Benoît Granger

    Présentation Alejandro2
    © Alejandro McDomhnall
      NOM : McDomhnall
      PRÉNOM(S) : Alejandro
      SURNOM(S) : essayez... pour voir.
      ÂGE : 25 ans
      DATE DE NAISSANCE : 12.02.1996
      NATIONALITÉ & ASCENDANCE : Sang-mêlé. Un croisement écossais – espagnol. Épique !
      PROFESSION : balayeur des rues.
      ANCIENNE MAISON : Poufsouffle.
      TIC & HABITUDE : mâchonne plume, crayon et baguette au moindre regain de nervosité. Croque lieux et personnages à longueur de journée.
      AVATAR : Ethan Peck


YOU & MAGIC


    BAGUETTE : 32.5 cm • bois d'ébène • ventricule de cœur de dragon. C'est sa dix-septième. Il les perd, les casse, les renie, les vend dans ses crises financières personnelles. Sa plus longue cohabitation avec une baguette est de six mois, trois jours et quelques heures. Quant à sa dernière acquisition, elle date d'une semaine et demi. Pour l'instant, tout n'est pas au mieux dans le meilleur des mondes, entre entêtement et explosions inopportunes.. Peut-être aurait-il dû écouter le vendeur, prendre son temps, au lieu de se débarrasser de l'épreuve comme d'une corvée en choisissant la première baguette qui lui passait sous les doigts. Ouais. Peut-être. Next time.
    PATRONUS : une mouette. Ses premières expériences patronesques dessinaient plutôt la forme d'un cheval. Allez savoir ce qu'il s'est passé depuis.
    EPOUVANTARD : jamais croisé .
    FAMILIER : une chauve-souris appelé Mascarpone.
    NIVEAU MAGIQUE : 3/10

    • Défense contre les forces du Mal : 1/10
    • Sortilèges : 3/10
    • Métamorphose : 1/10
    • Potions : 9/10
    • Botanique : 8/10
    • Histoire de la magie : 0/10
    • Astronomie :10 /10
    • Soins aux créatures magiques : 5/10
    • Arithmancie : 7/10
    • Divination : 1/10
    • Étude des Moldus : 0/10
    • Étude des runes : 0/10
    • Vol : 5/10


    Magiquement parlant, Alejandro n'a pas inventé la poudre de cheminette. Il n'a jamais montré de véritables dispositions pour les sorts et autres maléfices. Ou peut-être n'a-t-il jamais vraiment essayé. Ce n'est pas le genre de nuances qui l'intéresse, de toute façon.

    Par nécessité, il maîtrise tout ce qui touche à l'entretien (gracieuseté de sa mère qui estimait qu'une bonne éducation impliquait quelques sortilèges ménagers et culinaires). Mais la Métamorphose, la Défense contre les Forces du Mal... tout ça était tellement abstrait pendant ses jeunes années... Non, ce qui l'intéressait, c'était pencher la tête et observer les étoiles, tripatouiller les ingrédients, expérimenter, faire exploser quelques chaudrons, etc. Etre un véritable sorcier nécessite à ses yeux de maîtriser l'art subtil des potions, et, indirectement ses ingrédients divers. D'où son intérêt pour la Botanique.

    Au quotidien, Alejandro préfère tout simplement se servir de ses deux mains plutôt que d'agiter sa baguette. Fait peu commun chez les sorciers, il s'est toujours senti passablement stupide à agiter un frêle morceau de bois.





BACKGROUND
« Vivre tue un peu plus chaque jour » • Alejandro McDomhnall

    FAMILLE :
    Maìri McDomhall • mère : 47 ans - météoromage pour le Ministère de la Magie.
    Aime les Beatles, la glace à la citrouille et les moutons.
    Née au fin fond des Highlands, sa mère possède ce caractère un peu âpre de ceux qui ont dû se battre pour survivre. Têtue et fière, gardez-vous pourtant des apparences car dans sa poitrine bat un cœur d'or et sa porte est toujours ouverte aux inconnus - un peu trop, d'ailleurs, si vous voulez l'avis de son fils ainé, qui a vu défiler trop de beaux-pères potentiels à son goût. Les hommes s'y sont pressés, ont vu, ont vécu et en sont repartis. Son propre père, en l’occurrence. D'autres y ont pris leurs quartiers. Actuellement, ils sont deux hommes à vivre avec sa mère. Un ménage à trois dans lequel il est facile de grandir mais qui rend parfois le regard des autres plus difficile à affronter.
    Dans ce petit coin perdu d'Écosse, les langues vont bon train sur les mœurs un peu étranges de cette femme rousse qui parle parfois un peu trop fort.


    Segismundo Lozano • père : 48 ans - baroudeur.
    Aime le grand air, le Whisky pur feu, la poésie et la provocation.
    Sa contrée à lui est l'Espagne. A l'heure de l'Europe, les frontières sont devenues des petits détails faciles à sauter pour rencontrer l'inconnu(e), l'autre. Poète à ses heures perdues et baroudeur à temps plein, il a posé ses bagages en Écosse le temps de tomber amoureux de Maìri, de lui faire un enfant, avant de manquer d'air et d'espace et de reprendre sa liberté. La banalité du quotidien, très peu pour lui.
    Il a ce caractère facile indispensable aux voyageurs qui lui permet de se lier si facilement d'amitié. On lui offre l'hospitalité à tour de bras et lui égraine une descendance aux quatre coins du monde, faisant don de son nom à ses héritiers avant de partir à la conquête d'autres horizons. Une fois l'an, il fait un pèlerinage familial pour voir ses enfants grandir et leur raconter ses récits d'aventure qui font briller leurs yeux et titillent leur imaginaire.


    Angelo Cavazza & Gàbor Kučera • beaux-pères : respectivement 50 ans - apothicaire & 45 ans - antiquaire
    L'un est italien, l'autre est tchèque et les deux ont élu domicile au domaine McDomhnall et y ont pris leur quartier. Le premier est un expansif, qui parle avec de grands gestes, cuisine comme un chef et fut, jadis, joueur de Quidditch semi-professionel. L'autre est la discrétion même, tout en petites attentions et charme discret, qui observe plus qu'il ne parle et a fait de l'écriture de romans à l'eau de rose sa vie professionnelle. Diamétralement opposés dans leur manière d'être, d'agir et d'aimer, on aurait pu penser que placés en concurrence dans le cœur d'une même femme ils développent une antipathie à la limite de l'inimitié, tolérant à peine la présence de l'autre... La vie et ses lubies en a décidé autrement. Complices, une amitié solide est née de leur cohabitation forcée. Au point que, parfois, on les voit partir en excursion ensemble, laissant Maìri seule quelques jours pour d'un break au masculin.

    Sorcha McDomhnall, Mae McDomhnall & Aranza Lozano • demi-sœurs : 20 ans – styliste en formation ; 18 ans – 7ème année à Serdaigle & 15 ans – 5ème année au sein de l'équivalent espagnol de Gryffondor
    L'ainée est un grand échalas roux au rire contagieux et à la bonne humeur constante, la seconde est une petite brune rondelette un peu discrète aux goûts un peu éclectiques, quand la petite dernière a un minois d'ange sous sa crinière de cheveux clairs, minois qui cache bien son caractère espiègle et autodidacte.
    Si Alejandro part toujours dans de grands élans protecteurs dès qu'il s'agit d'Aranza, qu'il ne voit que trop peu à son goût, c'est avec Sorcha qu'il est le plus en phase. Malgré les quelques années qui les séparent, il y a entre eux cette étincelle qui fait qu'à eux deux, ils se sentent invincibles. Au manoir familial, ils faisaient les quatre cents coups, lui couvrant toujours sa benjamine lorsqu'ils se faisaient gauler. Sorcha a en plus ce petit talent si rare qui suscite chez lui des idées toujours plus folles et inventives. Depuis l'enfance, il la surnomme sa «Petite Muse».
    Quant à Mae, elle est, disons, dans un âge plutôt ingrat où rien ne compte en dehors de ses amies et des garçons à accrocher potentiellement sur son tableau de charge. Son frère ainé passe un peu à la trappe. A sa décharge, avoir un frère balayeur des rues, ça n'est pas particulièrement glamour.


    Note : Alejandro est le demi-frère des deux plus grandes par sa mère (Sorcha étant la fille d'Angelo et Mae de Gàbor) tandis que c'est l'ascendance paternelle qui le lie à Aranza. Tous les enfants de Maìri hérite de son matronyme. Tradition familiale où l'héritage se fait de mère en fille, plutôt que de père en fils. Les McDomhnall se réclament d'une lignée matriarcale. Féministes avant l'heure.

    Osvaldo Lozano & Jacinto Lozano • demi-frères : 20 ans – libraire & 11 ans – 1ère année au sein de l'équivalent espagnol de Poufsouffle
    Osvaldo est un petit crétin. Comme quoi, il y en a même dans les meilleures familles. Impossible de savoir d'où il tient ce fâcheux trait de caractère (peut-être de sa tante Carmen, qu'Alejandro a toujours eu du mal à supporter)... En dehors des balais de courses, des magazines people et des filles vulgaires, les sujets de conversation du jeune homme sont on ne peut plus limitées. C'est à se demander comment il est parvenu à devenir libraire. Son patron a certainement dû oublier de lui faire passer un quelconque entretien. On soupçonne même qu'Osvaldo aurait bénéficié d'un sortilège de confusion jeté au dit patron par une bonne âme affectueuse. Sans commentaire.
    Lozano, lui, est un petit bout de chou, un peu gâté. Mais qui peut résister à son sourire et à sa gentillesse. Le gosse possède un cœur qu'il serait prêt à diviser en morceaux et à distribuer autour de lui si ça pouvait rendre le monde plus heureux. Rêveur et toujours dans la lune, il ne redescend sur Terre qu'à leur du goûter et pour recevoir un peu de tendresse à qui veut bien lui en prodiguer. Ses facultés d'attention dépendent de son humeur et du capital sympathie de son interlocuteur. Peut-être l'adolescence va-t-elle venir chambouler son caractère adorable... pour l'instant ce n'est pas le cas.



    HISTOIRE :
    Il était une fois, dans un bled pommé d'Ecosse, la rencontre improbable de Maìri McDomhnall et de Segismundo Lozano qui augurait deux années de bonheur presque paisible, au terme desquelles l'appel de la route se fit plus fort que tout. Celui qui allait être son père reprit son errance par monts et par vaux tandis que sa future mère renonçait définitivement à la monogamie. Huit mois plus tard, naissait Alejandro, sous l'œil attentif de toutes les femmes que comptaient la famille McDomhnall, féministe de mère en fille.

    Aussi loin que ses souvenirs le portent, il semble à Alejandro que son enfance n'a rien à envier à personne. Choyé et libre, il jouissait de l'amour immense de sa mère et du grand air des hautes terres d'Écosse. L'intolérance du voisinage à l'égard de la magie ne réussissait pas à franchir le cocon protecteur tissé autour de lui. Ses premières années furent d'une insouciance folle.

    La naissance de Sorcha, la première de ses sœurs, vint bousculer l'équilibre de son monde. La nuit s'écoulait doucement et la petite fille refusait de naître. Sa mère fatiguait, des cernes de plus en plus sombres ourlaient ses yeux. Les images de ce moment-là hantent encore sa mémoire, projetant des images fraîches et claires dans sa mémoire. La vie de Maìri qui s'étiolait était presque palpable aux sens d'Alejandro. Du haut de ses certitudes d'enfant, sa mère allait mourir cette nuit. Il était inhumain d'endurer ce qu'elle endurait. Ses craintes se muèrent en frayeurs puis en panique véritable. Il refusait d'ouvrir la bouche pour échapper un cri ou de laisser ses yeux pleurer sa détresse. Il voulait tout garder à l'intérieur pour ne pas ajouter de la peine en plus sur les épaules de maman. Mais ça le consumait doucement et ça voulait sortir, indéniablement. Tout ce condensé de peur explosa soudain à l'extérieur de lui, faisant claquer les volets et flamber un beau feu dans la cheminée éteinte.
    Une heure plus tard, il tenait une petite sœur fraîchement née entre ses bras tout frêles. Le teint de sa mère avait retrouvé de l'éclat et un sourire bienheureux éclairait son visage.

    Précoce, ce fut là le premier signe de sa magie naissante. On aurait pu croire qu'Alejandro allait développer des pouvoirs hors du commun, ou, pour le moment, un chouïa extraordinaire. Il n'en fut rien. Si sa magie s'allumait de temps à autre en de menus incidents, ceux-ci se comptèrent sur les doigts d'une main jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de onze. Ce qui ne l'empêcha pas de poursuivre sa voie sur le sentier de l'enfance heureuse, un soupçon d'innocence en moins. Le monde était peut-être moins beau, moins simple qu'il n'y paraissait.
    Les hommes avec qui il partageait parfois le petit déjeuner lui apparurent de moins en moins comme des compagnons de jeu potentiels que comme des intrus très probables. Ils étaient peu nombreux à avoir l'heur de lui plaire et son jugement l'emportait souvent sur la longévité de leur séjour au manoir familial. Le père de Sorcha ne s'attarda pas. Les autres non plus.
    La famille s'agrandit néanmoins en bouches à nourrir avec l'arrivée de Mae, deux ans après sa sœur. De son côté, le père d'Alejandro égrainait quelques enfants ça et là en Europe, donnant au garçon quelques demi-frères et sœur lointains.

    Arrivèrent ses onze ans et la lettre en provenance de Poudlard, qui donna lieu à une fête mémorable, et à une avalanche de cadeaux de félicitation tout aussi mémorable. On avait le cœur à la fête et l'âme généreuse chez les McDomhnall.

    Les années collèges passèrent, loin des succès escomptés. Alejandro se révéla un élève moyen, peu concerné par l'apprentissage. Il affectait la stupidité pour justifier sa paresse et son intolérance à l'égard de toutes ces matières qui ne l'intéressaient pas. Et elles étaient nombreuses. Mais pourquoi perdre tant d'heures à étudier des leçons, à pratique des exercices dont il ne concevait pas l'utilité ? Non, il ne consacrait sa bienveillance et son énergie qu'à ces quelques professeurs qui avaient su susciter son intérêt et à ces matières qui l'attiraient depuis tout petit. Ah, la lune, les étoiles et le mystère des galaxies ! Et la fascination qu'exerçaient sur lui les plantes et leurs vertus dissimulées ! Que pouvaient espérer les sortilèges compliqués des cours de Métamorphose face à la fascination exercée sur Alejandro par l'art subtil des potions ?
    Non, de Poudlard, ce dont il se souvient le mieux, c'est de la vie elle-même, de ses instants mémorables (ou pas tant que ça...), oscillant entre insouciance, rire et larmes, espoirs et désillusions, ambiguïté, fraternité, attirance et répulsion. Les amours adolescentes sont certes les plus belles mais les amitiés y sont également intenses. En tant que Poufsouffle, il était de ceux qui se liaient facilement, même si rare étaient les jeunes gens à pouvoir se flatter d'avoir sa confiance et son respect. Il aimait sans compter mais sans vraiment tout donner, gardant toujours une réserve que peu était à même de franchir.
    Ce fut également au château que son talent pour le dessin éclata au grand jour. Cela fut d'abord un penchant idéal pour passer le temps (combien de fois hérita-t-il de retenue pour avoir gribouillé son parchemin de croquis et d'esquisse plutôt que des mots tout droits tirés du sacro-saint discours professoral ?). Le crayonnage constitua son premier revenu d'argent de poche - quand, bien évidemment, il ne dessinait pas pour le plaisir de ses amis. Autant dire qu'il ne devint pas milliardaire de la sorte.
    Ses examens se déroulèrent mal. Il décrocha quelques BUSEs et encore moins d'ASPICs. Être un rêveur idéaliste et épris de liberté a du bon. Néanmoins, confronté à la réalité de l'après-Poudlard... eh bien, autant dire que ses premières années livrées à lui-même ne furent guère glorieuses. Il avait espéré vivre de son art et la chute fut brutale. Désœuvré mais déterminé à subvenir seul à ses besoins (sa mère, bien qu'ayant des revenus corrects, avait encore deux jeunes filles à sa charge), Alejandro multiplia les petits boulots. L'ennui, quand on a dédaigné ses études, c'est que le monde du travail hésite à vous tendre les bras. Oh, il aurait pu devenir apothicaire mais ses lacunes en magie théorique n'encourageaient pas les patrons potentiels. Et personne ne voulait payer un jeune adulte à regarder les étoiles pendant des nuits entières.
    Les maigres emplois qu'il trouvait ne satisfaisait jamais à ses critères de liberté et d'ouverture. Trop d'heures cloîtrés à l'intérieur, trop de politesse commerciale à porter ostensiblement, et caetera. Jusqu'à l'arrivée providentielle de ce job dont personne ne semblait vouloir. Et pour cause, balayeur des rues, on avait fait plus glamour ! Mais sa mère avait toujours tenu à ce qu'Alejandro maîtrise les sortilèges ménagers, ne serait-ce que pour être parfaitement autonome et ne dépendre d'aucune femme. Et puis, pour lui qui détestait le cloisonnement, un job au grand air était parfait. Il n'avait besoin que de sa baguette et de sa bonne humeur. Le voilà donc « agent d'entretien magique » (balayeur des rues n'étant que le titre qu'il se donne en guise de provocation) depuis près de dix-huit mois. La vie aurait pu être pire.


    Mais pour être au fait de tout ceci, il faut compter parmi son cercle d'amis proches. Autant vous dire qu'il vous reste du chemin à faire...



    PETITS SECRETS & OBJECTIFS :


DESCRIPTION
« Les préjugés viennent de l'oeil et non du coeur. » • Marquis Quirion

    PHYSIQUE : la mèche un peu rebelle, Alejandro n'est pas vraiment ce genre de type à passer du temps devant le miroir de sa salle de de bain. Il affectionne les vêtements simples aux couleurs sobres. Quoi de mieux qu'un bon vieux jean noir et un sweat blanc. Selon son humeur, il agrémente le tout d'un chèche de couleur.
    Métisse espagnol-écossais, il a ce charme un peu particulier de ceux qui n'héritent pas d'une seule culture mais de deux. De là à le trouver beau, il y a un grand pas que, jusqu'à présent, seule sa mère a osé franchir. Du côté maternel, justement, il a hérité la crinière rebelle, en boucles indisciplinées, une peau pâle qui le désole, des yeux verts que, pour le coup, il apprécie. Son père, pour sa part, lui a légué la chevelure noire d'ébène, une voix un peu rocailleuse et une sveltesse qui ne demande aucun effort à entretenir.
    De manière générale, Alejandro n'est pas vraiment du genre sportif mais fait le strict nécessaire pour ne pas être ramolli avant l'heure. D'aucun le dirait athlétique, mais, en y regardant de plus près, on prend rapidement conscience qu'il a juste une bonne constitution.
    Habitué depuis tout petit à dépasser ses camarades d'une tête, il culmine aujourd'hui à un bon mètre quatre-vingt-dix, ce qui a au moins le mérite de lui éviter pas mal d'ennui. Dans une bagarre de bar, on y réfléchit à deux fois avant de le prendre pour cible. Il possède une démarche souple, qui frôle parfois la nonchalance mais quiconque le connaît sait que ses réflexes sont des plus opérationnels et que ses nerfs reprennent le dessus lorsque cela s'avère nécessaire.

    Approchons-nous un peu et attachons-nous aux détails.
    Son visage, Merlin merci, n'est ni trop fin, ni trop barbare. Sa mâchoire, sans être carrée, dessine une belle ligne qui souligne son visage avec conviction. Ses pommettes sont hautes, sans être excessivement marquées. Et si vous lui demander ce qu'il préfère chez lui, en dehors de ses yeux, il répondra à coup sûr qu'il est plutôt satisfait de ses oreilles, qu'il trouve parfaitement ourlées, et de sa fossette au menton.
    Autre trait caractéristique : ses mains. Ses longs doigts fins ont acquis au fil des années une dextérité sans pareille, qu'il entretient scrupuleusement. Il s'agit là de ses outils de travail et il redoute plus que tout une fracture ou une entorse qui lui demanderait des mois de rééducation. Quand tout va bien, ses mains sont souvent tâchées d'encre ou de fusain. Alors, son génie créatif est au beau fixe et ses heures vacantes sont consacrées au dessin.

    Quant au reste, rien de très notable. Quelques grains de beauté égrainés de-ci, de-là. Une pilosité mesurée (vous ne le verrez mal rasé qu'au terme d'une nuit dédiée à l'art... ou à l'amour). Cinq doigts à chaque main. Bref, rien que de très normal.

    CARACTÈRE :
    Au premier abord, Alejandro peut passer pour un garçon sauvage, avec une touche d'excentricité et ce côté agaçant de celui qui est toujours à moitié dans la lune. Si vous en avez la patience et le courage, essayez donc de l'apprivoiser un peu et vous découvrirez un personnage un peu plus complexe qu'à ce qu'il n'y paraît.

    J'AIME : le nom des étoiles (sérieusement, Adhara, Wezen, Antarès, Myrzam, Sham, ça fait rêver), l'odeur de l'encre, les livres, la menthe et la mandragore, le jus de bleuet, l'Art avec un grand A, la danse et plus particulièrement le tango même s'il ne sait pas le danser, le gaélique, la cornemuse et le bodhran, le silence, l'équinoxe de printemps et la fête de Beltane, les feux de cheminée, le Brésil et l'Ecosse, la cuisine, les nuits d'orage.....

    JE DÉTESTE : les rognures de gomme, le Quidditch et le sport en général, la musique moldue (exception faite des Beatles), le manque de loyauté, la presse écrite, les rumeurs, suivre le même chemin que les autres, les stéréotypes, la politesse, l'hypocrisie, le goût du camembert (quelle horreur, par Merlin !), la gastronomie anglaise (si tant est que l'on puisse lui donner l'appellation de gastronomie !), la prétention des sorciers à l'égard des moldus,...



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    PRÉNOM / PSEUDO : Mac
    ÂGE : 27. Ouais. Je sais. Une antiquité vivante.
    MULTICOMPTE / PERSONNAGE PRÉDÉFINI : /
    COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? via TDJ
    EXPERIENCE RP ? j'écris depuis un peu plus de six ans. Ma formation ? Destination-Poudlard & DP Alternatif.
    AVEZ VOUS LU LE RÈGLEMENT ? SI OUI QUELS SONT LES MOTS CODES ? Smile

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